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Petite revue du net pour "Donoma"

lundi 26 mars 2012 par Cramés

Guillaume Morel

Donoma n’en est pas moins le joyeux faire-part de naissance d’un véritable réalisateur dont on sent un amour passionnel pour le travail des acteurs et l’envie rageuse de faire du langage contemporain un matériau cinématographique. Abdellatif Kechiche parraine le film. On comprend pourquoi.

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Sophie Walon

Alternant des séquences hyperréalistes quasi-documentaires, caméra à la main, et des scènes à l’humour ou à l’onirisme extravagant, Donoma est un film aux multiples facettes : à la fois drôle et irrévérencieux, sensuel et bavard, intello et vulgaire. Il capte la complexité de l’air du temps, les angoisses et les incertitudes d’une époque et d’une génération.

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Le Figaro.fr (Aurélia Vertaldi)

Mais que pouvait attendre de plus ce jeune réalisateur, lorsque le jugement d’un pair, tel qu’Abdellatif Kechiche (Vénus noire, La graine et le mulet) s’exprime en ces termes :« Donoma est un film magnifique, intelligent et sensible. Il a quelque chose de très libre et de très maîtrisé.Le scénario est complètement fou, orchestré avec maestria (...). Donoma est un film fait sans producteur. Un film d’artiste pur ». Une guérilla rondement menée.

Lire l’article sur le site du Figaro